Corran Horn

"Combien de Corellien faut-il pour changer une ampoule ? Aucun : s'il fait noir, on ne les verra pas tricher au sabaac."

+ Nom : Horn
+ Prénom : Corran
+ Surnom : ( s'il en a un )
+ Age : 24 ans
+ Lieu de naissance : Corellia
+ Lieu de résidence :  Variable
+ Situation familiale : Céliabataire
+ Groupe : Alliance Rebelle
+ Emploi : Pilote dans l'Escadron Rogue (Anciennement enquêteur de la Corsec)
+ Rang : Profane

Pas grand chose à signaler, Corran est un jeune homme on ne peut plus normal. On notera toutefois sa petite taille (un mètre soixante-sept environ) lui valant parfois quelques brimades de ses collègues pilotes.

 Corran ne se sépare jamais de son porte bonheur : une médaille gravée qu'il a hérité de son défunt père. Avant chaque mission, il la contemple un court instant, persuadé que ce petit rituel lui octroie la chance nécessaire pour surmonter les obstacles qui se présenteront sur sa route..

 Aucun : Corran n'a pas encore conscience de son lien avec la force. Il dispose toutefois d'une très légère prescience qui s'apparente à de l'instinct, lui permettant de réagir bien plus vite qu'un humain ordinaire.

S'il est plutôt homme à préférer l'action plutôt que de long discours, Corran Horn est avant tout un enquêteur appliqué et rigoureux dont le sens de la déduction et les capacités d'analyse sont exceptionnelles. Pour ne rien gâcher, il est doté d'une prodigieuse intuition qui lui a tout autant permis de se tirer de mauvais pas que de résoudre ses enquêtes les plus difficiles.

Toutes ces qualités combinées lui confère une prodigieuse capacité d'apprentissage : malgré son jeune âge, Corran est un bon combattant, un tireur accompli est un pilote extrêmement prometteur. Lorsqu'il se met en tête d'apprendre quelque chose, il ne se donne jamais d'autre choix que d'exceller, l'amenant souvent à devenir un as dans tous les domaines.

Sorte de déformation professionnelle hérité de ses années passées à la CorSec, Corran met un point d'honneur à faire passer les faits objectifs avant ses propres émotions lorsqu'il est confronté à un problème, quel qu'il soit.

Pour toutes ses raisons, beaucoup ont du mal à le cerner, le prenant souvent pour une sorte de machine froide et analytique. Rajouté à ça une pincée d'arrogance typiquement Corellienne et un soupçon d'humour grinçant, et vous comprendrez rapidement pourquoi les relations sociales ne sont pas le point fort de Corran.

Pourtant, le jeune homme est au fond un un être profondément généreux et altruiste et il serait prêt à risquer sa propre vie pour aider une personne dans le besoin. Mais la perte de sa mère, puis de son père tous deux décédés dans de tragiques circonstances, l'ont amené à se bâtir une sorte de carapace : il ne veut plus s'attacher à personne de peur de les voir partir. C'est donc une personne plutôt solitaire quand on en vient à sa vie privée, mais il est en revanche tout à fait capable de travailler en équipe.  

Chapitre I : Protéger et servir

"Protéger et servir". C'est ainsi que l'on pouvait résumer ainsi les aspirations de ma famille. Sur une planète aussi agitée que Corellia, les forces de sécurité jouent un rôle prépondérant : mon père, Hal Horn, aurait pu vous en parler pendant des heures. J'ai cessé de compter le nombre de crapules ou de pirates qu'il a envoyé en taule où aux travaux forcés durant sa carrière à la Corsec. C'était en quelque sorte mon héros, ma principale inspiration : tout ce que je sais, et tout ce que je suis aujourd'hui, je le dois à ces enseignements.

Dès que j'ai été en âge de le faire, j'ai suivi ses traces, travaillant dur pour devenir à mon tour enquêteur à la Corsec. Ce n'était pas évident, mais je bossais dur... Et sans l'avouer à personne, je m'étais donné la lourde tâche de surpasser les résultats impressionnant obtenu par mon géniteur lorsqu'il avait passé ses examens. Autant dire que j'aimais les défi, car nombre de ses records de l'époque n'avait pas réussis à être dépassés jusque là.

Fort heureusement, je me débrouillais sacrément bien, m'entraînant comme un acharné pour parvenir à réaliser mon impossible objectif. Trop souvent, mes heures de sommeil devaient se compter sur les doigts d'une main, et je carburais littéralement au caf pour tenir le coup. Mais tous ses sacrifices avaient fini par payer, et j'avais même fini par atteindre mon but, pulvérisant les records de mon père dans de nombreux domaines. Et lorsque je lui annonçais mes résultats, La lueur de fierté que je voyais dans ces yeux valait pour moi toutes les richesses de la galaxie...

Deux ans après la destruction de la première étoile de la mort, j'obtins enfin diplôme d'enquêteur en réussissant quelques beaux coup de filets sur des crapules du Soleil noir... Et bon nombres d'espion rebelles.

À cette époque, l'alliance représentait à mes yeux l'une des pires engeances de la galaxie, et je la rangeais dans le même panier que les pires organisations criminelles (Cartel des Hutts et Soleil noir inclus). En apprenant que l'étoile de la mort avait été en partie détruite par un autre Corellien, un certain Han Solo, je considérais que l'honneur de mon peuple avait été entaché et que mes actions à la Corsec serait un moyen d'en racheter une partie.

Naïveté et sottise de la jeunesse... Mais à cette époque, j'étais encore persuadé que l'Empire représentait un gouvernement juste et légitime. Je me trouvais du côté des "gentils" et tout ce qui s'opposait à nous n'était que de la vermine bonne à être envoyée  aux mines d'épices de Kessel.

Chapitre II : Agent de la Corsec

Les années suivantes furent une glorieuse prolongation de ma carrière en tant que jeune enquêteur de la Corsec : j'enchaînais les missions et les succès, gagnant de plus en plus de responsabilités. Tout semblait aller pour le mieux... Malheureusement, ce formidable tableau s'accompagnait de quelques ombres qui me rendaient parfois la vie désagréable.

Pour commencer, Kirtan Loor, un agent de liaison des renseignements impériaux qui travaillait régulièrement avec mon service. Je n'avais jamais pu encadrer cet imbécile : il avait à peu près toute la panoplie de défaut qui me le rendait insupportable. Vaniteux, arrogant... Et incompétent par dessus le marché. Il participait avec la Corsec aux missions de capture de Jedi. Ce qui nous amène au deuxième problème...

Je n'aimais pas ces missions. L'Empire décrivait les Jedi comme des traîtres, des manipulateurs qui fomentait des l'ombre... Pourtant je ne voyais que des proies. Des gens isolés qui semblaient aspirer à vivre en paix avec leurs concitoyens, rien à voir avec les racailles que j'avais l'habitude de pourchasser. Pour ne rien arranger, je n'avais jamais trouvé à leurs sujets de preuves suffisantes permettant de les relier à un quelconque réseau terroriste. Tout cela était décidément bien louche.

En dehors de ces quelques points noirs, tout allait pour le mieux je devais bien le reconnaître. Si le reste de ma vie devait ressembler à ça, je m'en accommoderai sans trop de mal. Et puis avec un peu de chance, Kirtan Loor finirait par être muté ailleurs...

Mais la vie était faîtes de bouleversements constants... Et c'est précisément lorsque l'on commençait à l'oublier qu'elle venait nous le rappeler, souvent d'une douloureuse manière. Mon père était rentré plus tôt que prévu ce soir là... Et sans même le voir, j'avais pu sentir que quelque chose n'allait pas.

Je le retrouvais assis devant la table de la salle à manger, totalement silencieux. Il brisa le silence en premier, comme s'il avait pu deviner la question que j'allais inévitablement lui poser...

- C'est ta mère Corran... Elle... Il lui est arrivé quelque chose.

La suite fut assez laborieuse, mon père étouffant régulièrement un sanglot tandis qu'il me décrivait les circonstances de la tragédie. Maman avait percuté un autre speeder alors qu'elle rentrait du centre-ville... Après une rapide enquête, il apparaissait que le conducteur de l'autre véhicule avait consommé une grande quantité de drogue, expliquant ainsi la perte de contrôle soudaine de son véhicule.

Je me sentais totalement démunis face à une telle injustice, confronté de plein fouet au caractère irrémédiable de la mort d'un proche. Malgré tout, je voulais donner un sens à la mort de Maman... Dans les semaines qui suivirent je fis une demande de mutation dans le département de lutte contre la contrebande. Si je ne pouvais rien changer à la tragédie qui s'était abattue sur nous, je pourrais au moins faire en sorte qu'elle ne touche plus jamais personne.

À toute chose malheur est bon parait-il... Si je vivais encore mal la disparition de ma mère, ma mutation avait amené de nombreux points positifs. La chasse au jedi c'était fini pour moi... Et en prime, j'avais beaucoup moins affaire à cet imbécile de Kirtan Loor. Mieux encore je m'étais fait deux excellents amis.

Tout d'abord, ma nouvelle partenaire Iella Wessiri. C'était une femme pleine de ressource, et nos façons de penser et de réfléchir convergeaient souvent, ce qui était un plus non négligeable. Même aujourd'hui, elle fait très certainement partie des rares personnes à me connaître mieux que moi même : elle m'a soutenue aussi bien dans mon travail que lors des divers drames qui ont ponctués ma vie.

Mon deuxième meilleur ami n'était pas fait de chair et de sang, mais bel et bien d'un assemblage de boulons et de circuits : une unité astromécano de la série R2 que j'avais surnommé "Whistler". Au début, je le considérais comme un simple outil destinné à m'assister dans mes enquêtes, mais sa personnalité et son tempéraments assez particulier contribuèrent à ce que je le considère rapidement comme un véritable partenaire.

À leurs côté je commençais à reprendre goût à la vie, réalisant que sans le décès de ma mère, je n'aurais jamais fait la rencontre d'êtres aussi formidable. Où qu'elle ait pu être, j'étais persuadé que c'était là son dernier cadeau...

Chapitre III : Orphelin

Mais certaines choses étaient immuables. Mes realations avec Loor ne s'étaient pas arrangée... Très loin de là. Nous en étions arrivé à un point ou chacun de nous deux aurait était prêt à étriper l'autre au premier prétexte. Mais il restait mon supérieur, et j'étais contraint de lui obéir malgré mon effronterie régulière à son égard.

Six mois après la mort de Maman, mon père et moi fûmes envoyer pour assurer la sécurité lors d'une négociation sensible dans une cantina louche. Tout ça sentait le traquenard à plein nez, et je n'étais pas vraiment surpris que Loor nous confit le sale boulot...

Incognito avec mon père, je gardais la tête basse, évitant soigneusement de croiser les yeux de quelqu'un. Un seul regard et de travers et ça finirait en jeu de massacre.

- C'est pas bon fiston... L'ambiance et beaucoup trop tendu. J'ai un mauvais pressentiment.

- Ce n'est pas rassurant. Tes mauvais pressentiment se vérifient trop souvent... Parfois je me demande si tu n'as pas des dons de medium. Tu devrais te lancer comme diseuse de bonne aventure sur les marchés tu ferais un tabac et ce serait moins risqué que ce foutu job.

Je faisais de l'humour pour essayer de compresser, mais mon petit trait d'esprit semblait avoir crispé mon père plus qu'autre chose... Curieux.

- Ecoute Corran... Depuis la mort de ta mère j'ai bien réfléchi et il y a quelque chose d'important dont il faudrait que je te parle. Une fois qu'on en aura fini avec cette mission on...

Je ne saurais jamais la suite de sa phrase. Car se fut à ce moment précis qu'il fit irruption. Bossk... Vermine trandoshan et chasseur de prime réputé pour être l'un des plus efficaces et meurtrier pas loin derrière Boba Fett.

- Messssssieurs, les négociasssssssions sont terminées.

En un coup d'oeil j'analysai la situation : il était équipé d'un fusil à concussion. Chaque tir de cette arme produit une charge d'énergie qui explose à l'impact et souffle tout ce qui trouve dans un rayon de 5 mètre autour. Autant dire que dans un espace aussi confiné, le moindre coup tiré fera un carnage.

Mais mon père réagit encore plus vite que moi. Il me toucha à peine, pourtant je fut projeté à l'autre bout de la salle, évitant le tir mortel qui nous était destiné à tous les deux. Un peu sonné, j'eus malgré tout le temps de dégainer mon blaster et de le régler sur "Paralyser"... Trop distrait par son massacre, Boosk ne vit pas le coup venir et finit assommé pour le compte.

En bon officier de la Corsec j'aurais dû procéder à l'arrestation... Mais pour le moment, je n'étais que Corran Horn, le petit garçon de Hal Horn. Je me précipitais vers le corps étendu de mon père, espérant vainement qu'il ne soit pas trop tard.

- Corran... C'est trop tard pour moi... Rostek... Ton grand père... Dois lui parler... Notre héritage... La lignée des Ha...

Quoiqu'il ait tenté de me dire, les dernières paroles de mon géniteur resteraient mystérieuses... Il rendit son dernier souffle sans avoir eu le temps de m'en expliquer davantage. Les criminels de Corellia m'avaient désormais presque tout pris... Mon père, ma mère. Il ne me restait guère plus que ma carrière.

Chapitre IV : Dissidence

Traînant Bossk au QG, j'espérais son arrestation immédiate et son jugement à venir pour les jours prochains. Mais j'oubliais que tout ça dépendait avant tout du bon vouloir de mon supérieur... Kirtan Loor.

- Désolé Horn, mais les preuves manquent pour incriminer monsieur Bossk. Les témoignagent sont assez contradictoires et je ne peux pas prêter foi à votre seul version des faits.

- Mais évidemment ! Vous croyez vraiment que quelqu'un irait témoigner contre un cinglé de trando armé d'un fusil à concussion ! Bossk est un chasseur de prime, une fois relâché il traquerait sans pitié quiconque aurait participé à son incarcération. Sans compter ses liens privilégiés avec la guilde des chasseurs de prime...

- Assez Horn ! Une enquête dans les règles sera effectuée. Comme vous êtes émotionnellement impliqué dans cette affaire, je me vois contraint de vous retirer le dossier ainsi qu'à votre collègue Iella... Les résultats nous diront si Bossk doit être jugé ou non. En attendant, il sera gardé en détention provisoire.

Bien évidemment, le dossier fut rapidement classé, décrétant un non-lieu. Comme si de rien n'était, Bossk fut relâché, libre d'aller massacrer d'autres malheureux dans toute la galaxie. Si je retombais sur ce foutu Trando, je lui ferais la peau... Une mort lente et douloureuse digne des raffinement de cruauté dont été capable son peuple de dégénérés.

Cette histoire puait le coup monté à dix kilomètres... Loor nous avait envoyé à dessein dans un traquenard visant à nous éliminer mon père et moi. Il nous haïssait bien assez pour en être capable. Malheureusement je manquais de preuve pour l'incriminer.

J'avais confié à Iella et à son époux Gil Bastra mes soupçons, mais nous étions totalement impuissant. Toutefois, leur soutien me permis de garder pied à terre : Gil était un vieil ami de mon père et son ancien partenaire. Il avait mis un point d'honneur à veiller sur moi aussi bien que l'aurait fait mon géniteur... Il me confia notamment un médaillon qui avait autrefois appartenu à mon père, dernier souvenir qui me restait alors de lui. À compter de ce jour, cette babiole ne m'avait plus jamais quitté.

La mort de mon père avait changé beaucoup de choses dans la manière dont je concevais les choses. L'Empire n'était plus  à mes yeux cet indéfectible garant de la paix et de la justice. Et Mes sympathies commençaient à changer sans même que je m'en rende compte...

Mon ultime prise du conscience eut lieu lors d'une mission assez spéciale : j'étais chargé de retrouver le neveu disparu du célèbre baron Soontir Fel, pilote émérite de l'Empire. Tout du moins autrefois... Le nom de Fel avait été traîné dans la boue après que Soontir ait rejoins les rebelles et leur célèbre Escadron Rogue. J'ignorais ce que mes supérieur voulaient au jeune Fyric Fel, mais j'étais persuadé que cela avait un rapport avec son oncle... Et ce qui l'attendait très certainement me faisait froid dans le dos.

Au cours de mon enquête, je fis la rencontre de trois types louches qui cherchaient aussi le neveu de Fel... Même s'ils se donnèrent beaucoup de mal pour cacher leur véritable identité, je découvris rapidement qu'il s'agissait de pilotes de l'escadron Rogue enquêtant sous couverture. Quelques mois ou années auparavant, je les aurais fait arrêter... Mais le Corran zélé était mort en même temps que mon père : je décidai donc de m'allier avec eux pour retrouver Fyric Fel.

C'est en travaillant à leurs côtés que je découvris, que les terribles et impitoyables Rogues étaient en réalité une bande de joyeux lurons forts sympathiques, bien loin de la réputation de croquemitaine que leur donnait la propagande impériale. Une fois le jeune Fyric retrouvait et secouru, je le laissais repartir avec les Rogues, conscient qu'il serait plus en sécurité avec eux. De mon côté je fis au mieux pour couvrir les pilotes rebelles dans mon rapport...

Après cette collaboration inopinée, j'avais complètement laisser tomber les missions d'arrestations de sympathisants ou d'espion rebelles... Je n'y arrivais tout simplement plus : à la place je me focalisais plutôt sur les contrebandiers et les trafiquants. Mais Kirtan Loor ne l'entendait pas de cette oreille : mes refus successifs l'amenèrent à me suspecter de trahison. Je compris alors que mon temps en tant qu'enquêteur de la Corsec était révolu : il fallait que je disparaisse avant que Loor ne me fasse assassiner ou arrêter.

Chapitre V : Baroudeur...

Iella et Gil s'arrangèrent pour me faire quitter Corellia, me préparant au passage toute une panoplie d'identité d'emprunts. Je n'étais pas encore prêt à rejoindre l'alliance Rebelle, aussi, je décidais d'agir seul. J'aidais les gens dans le besoin, je résolvais les problèmes... Bref, ni plus ni moins que ce que je faisait déjà dans la Corsec. Mais l'Empire était partout et il m'était impossible de me cacher bien longtemps : j'étais une fourmi luttant contre un géant de dix mètres.

Je suis du genre têtu mais je sais reconnaître un combat perdu d'avance. Seul face à la machine impériale je n'ai aucune chance... Mon seul espoir de faire réellement la différence est de rejoindre une cause plus grande au côté d'autres personnes qui partageront mes idéaux.

L'alliance Rebelle, ou plutôt la nouvelle République, à besoin de soldats téméraires pour lutter contre l'Empire. Je me débrouille pas trop mal avec un manche à balai et j'ai ouï dire qu'un escadron que je connais bien recrute des pilotes casse-cou et motivés.

Je n'ai plus rien à perdre... Et je me débrouille pas trop mal avec un manche à balai. Je vais tenter ma chance avec les Rogue et nous verrons où tout ça nous mènera...


     

DC de Luke